12 juin 2010
Un jour peut être
Le souffle d'un instant
Et le glas sonna
Voici gisent les corps de partout
Des corps sans tetes
Et des sourires partirent des bourreaux
Heureux, qui se réjouissent
En contemplant leur besognent
Et des larmes coulèrent du peuple
Malheureux, qui se morfond
En enterrant ces cadavres
Et le glas sonna
Voici les bourreaux qui pleurnichent
Assis devant le tribunal du peuple
Tetes baissees, demandent le pardon
Et le peuple qui cria et scanda
A mort a mort
Car voici venu le jour de la justice
La revolte est source d'espoir
Voila le spectacle qu'offre la vie sur terre
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