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Debout Les Pauvres
22 octobre 2010

Des pompiers du 06 en lutte sauvagement agressés par les CRS

 

Regardez ces photos à faire circuler partout, la TV les censure : l'oeuvre de cette bourgeoisie haineuse, non seulement ils ont vendu le pays aux banques et veulent nous faire payer la facture mais ils nous envoient les CRS pour matraquer ceux qui luttent. Solidarité ! Continuons le combat partout ! Vive le mouvement populaire et solidaire ! Halte à la violence ! :  

 

Halte à la répression, solidarité de classe ! En avant le peuple contre le mépris et la violence Sarkozyste !

Des pompiers  du 06 en lutte sauvagement  agressés par les CRS  

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> Message du 21/10/10 11:07
>Ils tapent même sur les pompiers. 
Suite a la manifestation des pompiers des Alpes maritimes revendiquant la reconnaissance de métier à risque et la pénibilité du métier pour la réforme des retraites ,les C R S  les chargent avec leur délicatesse coutumière.
Le pompier à terre sur la photo a pris un coup de matraque dans la tête sans raison, transporté inconscient à l'hôpital de Nice il se réveillera dans l'après midi.

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5 pompiers ont été mis en garde à vue. Une violence inouïe face à des pompiers avec qui ils ont l' habitude de travailler, une perte de sang froid totale a provoqué .Un excès de violence chez ces individus que nous ne regarderons plus jamais de la même façon, inacceptable pour nous de voir ce genre de pratique . 
Faut que ça se sache .....La prochaine fois, ce sera leur femme ou peut être leurs rejetons.

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Commentaires
R
Chers camarades<br /> Communiqué du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers en Anesthésie Réanimation Elargi du 28 octobre 2010<br /> Pénibilité des Médecins de la nuit ; LE SNPHAR-E éxige l’application du principe de précaution.<br /> Mis en ligne le 28 octobre 2010<br /> PENIBILITE DES MEDECINS DE LA NUIT : LE SNPHAR-E EXIGE L’APPLICATION DU PRINCIPE DE PRECAUTION.<br /> <br /> Le vote de la Loi sur les retraites au Sénat, sous procédure accélérée, constitue pour le SNPHAR-E un déni de démocratie inacceptable. Les amendements qui auraient permis un début de prévention de notre pénibilité n’ont pas été discutés. L’amendement visant à limiter le travail de nuit à partir de 60 ans a même été gratifié par le rapporteur de la Loi d’un infamant : « louable mais refusé ».<br /> <br /> Le SNPHAR-E a déposé un préavis de grève pour la journée du jeudi 28 octobre, car nous ne pouvons accepter le mépris et l’absence de dialogue social que nous oppose le gouvernement. C’est pour nous un acte citoyen de nous opposer à ces dérives anti-démocratiques, inédites en France. Sénateurs et députés nous refusent la reconnaissance de la pénibilité du travail de nuit, en contradiction avec toutes les études internationales. Il est pour eux normal d’exposer notre santé, normal de nous laisser faire des gardes jusqu’à 67 ans, normal de nous laisser gonfler nos CET pour maintenir l’offre de soins.<br /> <br /> Pour le SNPHAR-E c’est totalement inacceptable. Notre responsabilité d’organisation syndicale nous oblige donc à invoquer le principe de précaution, et à conseiller à tous les médecins hospitaliers de se protéger. Désormais, un message clair : nous n’engagerons plus notre santé pour un système qui n’exprime que du mépris envers nous.<br /> <br /> Nous refuserons désormais de travailler plus de 48 heures par semaine pour pallier les problèmes d’effectifs, ou en raison d’une désorganisation grandissante, ou pour soutenir une organisation productiviste d’un néo-hôpital rentable. Nous allons ainsi refuser de faire du temps additionnel. Toutes nos propositions au Ministère de la Santé, aux députés, aux sénateurs, qui auraient permis de régler harmonieusement le problème des comptes épargne temps sont refusées depuis plusieurs années : la bombe à retardement s’est réamorcée, de nouveau nos CET dépassent 100 jours : nous allons vider nos CET. Ce temps est du travail que nous avons fait en plus, il est à nous. Il va nous servir à protéger notre santé. On nous fait travailler la nuit en astreinte sans reconnaître les déplacements comme du travail réalisé : nous disons « halte au travail dissimulé la nuit ». Nous allons exiger un suivi actif avec les médecins du travail : eux sauront reconnaître l’altération de notre santé, et prendre les mesures de protection adéquates.<br /> <br /> Nous sommes la cheville ouvrière de l’hôpital public. Nous travaillons la nuit, le week- end, en toute transparence. Nous ne doublons pas ou triplons pas nos rémunérations avec l’activité libérale. Nous ne partons pas opérer le week end dans les Emirats. Nous ne touchons pas de backchich des laboratoires. Nous ne rédigeons pas des expertises judicaires sur notre temps de travail. Nous ne demandons pas l’aumône, mais la reconnaissance de notre investissement quotidien et nocturne pour nos patients et pour le service public.<br /> <br /> Bien fraternellement<br /> <br /> Raymond Hottin
Debout Les Pauvres
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